Parasites : ne croyez pas vos analyses sur parole  

Chère lectrice, cher lecteur,

Dans ma dernière lettre, je vous parlais d’un sujet crucial en santé, et pourtant encore trop mal connu des médecins : les parasites intestinaux.

J’ai partagé avec vous les différents signes et pathologies qui doivent vous mettre sur la piste d’une éventuelle infestation.

Aujourd’hui, je fais le point sur les différentes analyses… et leurs problèmes respectifs.

Vous verrez qu’un résultat négatif ne signifie pas forcément que vous n’abritez pas un parasite…

Ce n’est pas parce que vos résultats sont négatifs que vous n’avez pas de parasite

En médecine, lorsqu’une recherche est négative, cela ne veut pas dire que ce que vous recherchez n’existe pas.

Ainsi, si vous allez pêcher dans le lac avec un fil et un hameçon il est vraisemblable que vous ne ramènerez pas de poisson. Allez-vous en déduire qu’il n’y a pas de poissons dans ce lac ?

Pendant des dizaines d’années, on s’est évertué à chercher des vers ou des traces de leur présence (larves, œuf) dans les selles, sans jamais se poser la question suivante :

Que feraient des vers sur vos matières fécales ?

Peut-on être sûr qu’ils ne sont pas dans l’intestin sous prétexte qu’on ne les voit pas ?

C’est ainsi qu’il a fallu attendre 2015 pour qu’on démontre enfin que la recherche de parasites dans les selles était négative à 90% chez des personnes pourtant infestées.

En réalité, cet examen n’a pas d’autre utilité que de connaître le nom du parasite dans le cas éventuel où on aurait la chance de le découvrir.

Combien de malades ont souffert de démangeaisons anales durant des années sans que jamais on ne leur ait donné un antiparasitaire, simplement parce que leurs analyses des selles étaient négatives !

Les 3 problèmes avec la prise de sang

Il existe aussi un sérodiagnostic pour rechercher dans le sang des anticorps dirigés contre des protéines du ver.

Le premier problème, c’est que cette analyse n’est pas spécifique : on cherche des anticorps dirigés contre des protéines que l’on espère universelles, potentiellement présentes sur toutes les familles de vers ronds, alors que ce n’est pas toujours le cas.

Le deuxième problème, c’est qu’on ne cible pas toujours les bons anticorps.

La plupart du temps, on teste les anticorps dits immunoglobulines G. Or la réponse immunologique de l’organisme contre les vers repose le plus souvent sur la production d’immunoglobulines E.

Troisièmement, il y a des patients qui ne produisent aucun anticorps alors qu’elles sont infectées. Et vous imaginez bien que ce sont vraisemblablement des personnes plus gravement atteintes !

Et dernièrement, si on a la chance de découvrir chez vous des anticorps IgG contre les « ascaris », vous pourrez lire par exemple dans le commentaire du résultat : « 7 Unités : résultat négatif ! seuil de 15 ».

Ainsi, tant que vous n’avez pas un taux d’anticorps de 15 unités, le laboratoire considère que ce résultat est négatif. Mais comment pourriez-vous produire des anticorps, même à des taux faibles, sans qu’il n’y ait la présence du parasite ?

Pourquoi vous devez garder toutes vos prises de sang (même celles d’il y a 20 ans)

Pour détecter un parasite, il est parfois nécessaire d’analyser toutes vos analyses sanguines, y compris celles qui datent de plus de 20 ans.

Je vois parfois arriver en consultation des malades, tenant en main leur dernière prise de sang.

Ce qu’ils ignorent, c’est que les indicateurs biologiques font partie intégrante de qui vous êtes au même titre que la couleur de vos yeux, l’aspect de votre chevelure ou votre taille…

Vos cheveux peuvent être différents d’un jour à l’autre : plus ou moins bouclés, plus ou moins secs, en fonction de la saison, de votre cycle menstruel, etc.

Mais derrière ces modifications subtiles, demeure l’aspect général qui fait que l’on vous reconnaîtra quelle que soit la nature de votre chevelure.

Eh bien c’est pareil avec vos analyses sanguines.

Par exemple, le nombre de vos globules blancs peut varier au cours du temps ou si vous tombez malade. Mais comment un médecin peut-il connaître votre vraie « nature » – en termes de globules blancs – s’il n’a pas les prises de sang précédentes ?

Il faut parfois aller très loin dans le passé pour connaître votre statut et observer des variations sur plusieurs années. L’évolution de vos globules blancs décrira une courbe particulière qui peut être très significative, notamment si on s’intéresse au nombre des polynucléaires éosinophiles.

Ainsi, si je constate, qu’il y a 12 ans, votre taux de ces globules blancs particuliers a augmenté, avant de diminuer et de se stabiliser, bien qu’il demeure dans le cadre des valeurs dites « normales », cela peut révéler que vous avez bien attrapé un parasite à cette époque.

Mais où étiez-vous alors ? En France ou à l’étranger ? Un interrogatoire détaillé nous permettra alors de déduire quel est le type d’helminthes qui vous a infecté.

Vous comprenez donc pourquoi votre médecin doit prendre connaissance de toutes vos prises de sang passées, et ceci à chaque nouvelle consultation.

Ce que vous risquez si vous êtes infesté

Certains scientifiques estiment que la présence de ces vers serait protectrice pour l’organisme.

Ils suggèrent même que ceux-ci auraient un potentiel face à certaines maladies inflammatoires de l’intestin.

Voici pourquoi j’ai une vision à l’opposé de ces théories.

La présence de ces vers induit une immunodépression qui favorise les infections au virus de l’herpès : j’entends par là la maladie herpétique (le fameux bouton de fièvre), mais aussi l’herpès génital, beaucoup plus dangereux car présent dans les sécrétions vaginales, le zona, mais aussi le virus Epstein-Barr responsable notamment de la mononucléose infectieuse et aussi de lymphomes.

Il a aussi été démontré que la présence d’helminthes favorise la prolifération du papillomavirus dans le liquide du conduit du col de l’utérus. Il est désormais recommandé d’administrer un traitement parasitaire chez toute femme présentant un cancer du col de l’utérus.

Covid, VIH, impétigo… nouveaux espoirs ?

Je ne peux pas non plus m’empêcher de faire un parallèle avec l’efficacité démontrée dans plusieurs études de l’ivermectine contre le COVID.

Il s’agit là d’un médicament antiparasitaire.

J’émets donc l’hypothèse que la disparition des parasites pourrait contribuer à restaurer le système immunitaire qui, dès lors, sera plus efficient pour éliminer le coronavirus.

Ne serait-il donc pas pertinent d’étudier le bénéfice éventuel d’un traitement antiparasitaire chez les personnes ayant un syndrome d’immunodéficience acquise (SIDA) et donc porteur du virus VIH.

Il serait aussi intéressant d’étudier l’effet d’un tel traitement chez les enfants qui ont un impétigo, maladie bactériologique cutanée due au staphylocoque et au streptocoque cutané.

Malheureusement, la parasitologie est encore trop peu développée en médecine et à peine enseignée en troisième année dans les cours de pathologie fondamentale.

Rares sont les services hospitaliers qui discutent des parasitoses, dont les conséquences directes ou indirectes sont pourtant importantes.

Ne devrait-on pas envisager une telle pathologie parasitaire dès que l’une ou l’autre des situations décrites plus haut se produit ?

Ne devrions-nous pas reconsidérer la présence des helminthes dans l’intestin même si nous ne les voyons pas dans les selles, notamment en cas d’urticaire ou de démangeaisons ?

Et finalement, ne faudrait-il pas se vermifuger tous les 6 mois, comme nous le faisons pour nos animaux de compagnie… ou comme le faisaient nos grands-mères ?

Bien à vous,

Pr Philippe Humbert





36 réponses à “Parasites : ne croyez pas vos analyses sur parole  ”

  1. Denyse Saint Arroman dit :

    Bonjour
    Ce qui me trouble beaucoup c’est le fait de devoir présenter au médecin des analyses, même anciennes.? Que se passe-t-il si on n’a pas d’analyses anciennes? Soit qu’elles aient été détruites parce qu’on ne voyait pas l’utilité de garder des trucs vieux de 20 ans, soit parce que jusqu’à ce jour on n’était jamais malade et n’avait pas de raison d’aller voir le médecin. Doit-on renoncer à être soigné?

    • Florent dit :

      Bonjour Denyse,
      On fait avec ce qu’on a. Si vous avez d’anciennes analyses, prenez-les lors de vos consultations, comme le recommande le Pr Humbert. Et si vous n’en avez pas, il n’est jamais trop tard pour commencer ce travail d’archivage dès vos prochaines analyses.
      Amicalement,
      Florent

  2. Mme Chantal CHARVET dit :

    Cher Professeur , Merci pour votre vidéo vraiment très intéressante . Ayant fait dernièrement une analyse de selles suite à des problèmes intestinaux (par ex : diarrhées depuis plusieurs mois qui ne sembleraient t pas mettre mon alimentation en cause), le résultat est négatif. Serait-il possible que néanmoins, je puisse avoir des parasites intestinaux qui n’ aient pas été détectés ? Je souhaiterais utiliser un vermifuge naturel . Pourriez-vous me conseiller ce vermifuge svp? Par avance, je vous remercie. Chantal

  3. Mme Chantal CHARVET dit :

    Bonjour Docteur, Je suis très interessée par vos webminaires auxquels je me suis abonnée. Depuis plusieurs mois , j’ ai des soucis intestinaux (diarrhées,par ex.)bien que mon alimentation ne soit pas mise en cause. J’ ai fait une analyse de selles et le résultat est négatif; Cela veut-il dire que je n’ ai pas de parasites intestinaux ?
    Pourriez-vous me conseiller un vermifuge naturel s’il-vous-plaît ? En vous remerciant par avance.
    C.C.

  4. haziel dit :

    nous sommes le 12/03 et toujours aucunes réponses à toutes questions demandés !!! pas sérieux tout cela …

    • Florent dit :

      Bonjour,
      Je vous rappelle que le Pr Humbert consacre sa semaine complète à recevoir et aider ses patients dans son cabinet. C’est donc sur le peu de temps qu’il lui reste qu’il écrit ses lettres pour PureSanté, une fois par mois, et cela dans le seul but de vous aider. Je suis un peu surpris par cette marque d’impatience alors que vous avez la chance de pouvoir profiter gratuitement des conseils d’un tel expert, professeur de médecine, spécialiste de plusieurs domaines médicaux, et qui dédie sa vie à la médecine et à la santé de ses patients. La lettre de réponses aux questions est en préparation est devrait paraître d’ici quelques jours.
      Merci pour votre compréhension.
      Amicalement,
      Florent

      • Denyse Saint Arroman dit :

        Merci . J’imagine que le docteur est surchargé de travail et ce sera déja merveilleux s’il peut nous donner une réponse. de temps en temps. Comme les autres intervenants je me demande quel vermifuge prendre. Comme j’ai des chiens j’avais pris du fluvermal mais est-ce que ça ne risque pas d’empirer mes problèmes intestinaux?

  5. Laura Aragon Martínez dit :

    Bonjour,
    Merci pour cet article, mais il serait vraiement important de partager quels sont les solutions pour pouvoir nous vermifuger. Sans cette information le résultat est vraiement incomplèt et génére un peu d’angoisse: on peux indentifier clairement les symptomês et les consequences mais sans avoir la moindre idée concernant les solutions à envisager.

  6. Laurence dit :

    Bonjour, Vous nous conseillez de nous vermifuger régulièrement. Mais quels vermifuges les plus naturels possibles conseillez-vous ? Cette précision complémentaire me semble essentielle car on ne souhaite pas s’intoxiquer avec des médicaments. J’ai souvent entendu dire que l’ail cru est efficace. Qu’en pensez vous ? Merci pour votre réponse. Cordialement.
    Laurence

  7. Patichou dit :

    Je suis entièrement d’accord avec vous.
    … à 200%.
    Merci pour ces rappels importants.

  8. Jeanine Ritouret dit :

    J’ai des démangeaisons en particulier sous les pieds et sur les jambes au niveau du tibia. Quel produit pourrais-je essayer comme vermifuge ???
    J’espère que le prochain article du Pr Humbert va nous donner des pistes pour nous vermifuger …
    Merci

  9. SL ange dit :

    Votre analyse sur les parasites confirme ce que l’on pressent depuis quelques années.
    Mais quelles recherches ,doivent être demandées dans l’ordonnance pour le labo.?
    Ensuite ,quels traitements seraient efficaces ?avez vous essayé l’huile de theré ?
    Ou trouvez des spécialistes de parasitologie qui pourraient nous prendre en main ,par département ?
    Bien à vous .

  10. Lerognon dit :

    Après votre exposé, on en sait pas plus !
    J’ai pris du fluvermal mais les démangeaisons scrotum reviennent.
    Quelle cure anti parasitaire prendre ?
    Il faut un an pour un rdv avec le professeur Humbert…

  11. Christine dit :

    Après avoir lu attentivement votre deuxième lettre au demeurant fort intéressante, aucune solution pour éradiquer ces parasites de notre corp. Sommes nous comme à l’accoutumée laissé dans l’errance ce que c’est bien faire l’allopathie. Juste le nom d’un antiparasitaires eu été souhaitable.
    Bonne journée quand-même

  12. QUEMENER Françoise dit :

    Il serait intéressant de transmettre ce texte au Ministre de la santé.
    Mais vu que nos Gouvernants ne veulent pas que le peuple sache, c est peine perdue. Les grosses filiales veillent au grain si vous voyez ce que je veux dire !!!! Par contre, ils se disait dans un temps plus lointain que les vermifuges irritaient les intestestins. Si vous pouvez m en dir plus.
    Merci.

  13. Delphine dit :

    Fluvermal ????

    Autre chose de plus naturelle ???

  14. Poiteaux dit :

    bonjour, votre article sur les parasites est formidable mais vous ne donnez aucun remède

  15. Laurent Virginie dit :

    Bonjour,

    Je pense exactement la même chose mais quand je parle qu’il faut se déparasiter tous les 6 mois on me rigole au nez!!! Le docteur Hulda Clark en parle très bien, ses travaux sont passionnants!!!

  16. marise carros dit :

    bonjour, il y a quelques temps, j’ai eu de l’urticaire sur tout mon corps. Avec quel produit je peux me vermifuger
    tous les 6 mois.
    je vous remercie à l’avance de la réponse que vous
    m’apporterez.
    Très cordialement,

  17. Ewa dit :

    Merci Philippe pour votre article, que pouvez vous suggerer comme antiparasitaire ?
    Pour ma part, j’ai de l’huile de Nigel, mais avez vous des recommandations ? merci beaucoup

  18. Anonyme dit :

    Votre raisonnement est tout à fait juste et la question mériterait vraiment d' »être creusée !
    J’avais eu l’occasion de tester l’Ivermectine en tant qu’anthelminthique sur les bovins et j »avoue que son efficacité prônée par le Pr Raoult me questionnait. Elle était certes efficace en cas de Covid, mais pourquoi ? Vous avez répondu à ma question !

  19. Muth-Gervelas dit :

    Bonjour Professeur,
    Je pense, que vous êtes sur la bonne piste. En analysant mon passé ( j’ai maintenant 80 ans) je me souviens avoir êté envahie par ces petits vers ronds à l’age d’environ de 4 ans. Je ne me souviens pas d’actions de me vermifuger. J’ai eue par la suite 2 fois la varicelle , de l’herpès assez grave jusqu’ à maintenant et à l’age de 4 ou 5 ans probablement un Lymphome de Hotgkins (Hôpital) que j’ai d’ailleurs actuellement .(probablement à cause d’un stress très intense).

  20. DANGIOT dit :

    Le taux d’éosinophiles est un marqueur de parasitoses. Mais un taux normal n’est pas significatif d’une exemption parasitaire. Le test de la salive dans un verre d’eau claire est toujours significatif d’une parasitose et pas seulement de la candidose… La douchette à chaque passage aux toilettes (plutôt que le papier) est un bon moyen préventif d’un grand nombre de parasitoses (facile à installer pour 30 euros). Le massage du périnée avec cette douchette rajoute un bienfait sur la boucle JEN MO TUMO… Il est à noter que tout ce qui amoindrit les effets sévères du COVID a aussi une action anti parasitaire (exemple: IVERMECTINE ARTEMISIA ANNUA avec le même prix NOBEL conjoint). De nombreuses plantes ont aussi cette propriété anti-parasitaire (LAPACHO, PAOPEREIRA, PLANTAIN, etc.). Les parasites provoquent souvent des inflammations chroniques qui peuvent amener des cancers après quelques années. En toute logique, différents virus pourraient loger temporairement dans les parasites .pour s’insérer ensuite dans les organes ou les tissus…

  21. Durand dit :

    Bonjour,

    Quel vermifuge recommandez-vous?
    et à quel dosage ?

    Merci de votre réponse.

  22. burckel Laurence dit :

    Très intéressant, mais existe t’il des plantes qui peuvent déparasiter les intestins ?
    Je me vois mal demander à mon médecin un vermifuge…il va me répondre qu’il sait ce qu’il a à faire…que le médecin c’est lui.
    Merci pour votre réponse ! Mme B.

  23. Lucette DUCRET EUBANKS dit :

    Malgré mes recherches, je n’ai pas trouvé les sources J’ai pourtant appuyé sur le bon bouton et donc lu 2 fois la même lettre sauf que sur la 2e, il n’y avait plus mention des sources.

    • Florent dit :

      Bonjour Lucette,
      Il n’y a pas de source pour cet article. Les propos s’appuient sur l’expérience et les connaissances du Pr Humbert.
      Amicalement,
      Florent

  24. Pierre dit :

    Bonjour Docteur,
    Merci pour votre développement bien intéressant mais qui, pour l’individu lambda, risque d’être un peu compliqué à suivre tant les facteurs cités sont nombreux..
    Le plus simple ne serait-il pas alors de rester pragmatique et de, à supposer que le vermifuge n’ait pas d’effets délétères, vermifuger systématiquement tout le monde sans trop se poser de questions ?. Le bilan avantages/inconvénients ne serait-il pas évident dans tous les cas ?
    S’il en était ainsi, quel vermifuge me conseilleriez-vous ? Celui que je donne à mon chien (en adaptant pour le poids) ? Merci déjà de nous donner votre avis, Pierre

  25. Diane dit :

    est ce que des démangeaisons dans la région anales et vulvaires et des mycoses (aussi aux ongles des pieds) peuvent venir de parasites intestinaux ?
    L’ivermectine est – il adapté à toutes sortes de parasites ?
    merci d’avance !

  26. ADJANOHOUN Boniface dit :

    Salut professionnels de la santé ! Je voudrais savoir le rôle des dents dans la survie de l’homme et de son libido. Mon , j’ai déjà perdu 2 incisives en bas.

  27. Charmel dit :

    Quand j’étais enfant , j’étais régulièrement infestée par des ascaris et ma mère me vermifugeais à chaque fois que leur présence se manifestait .
    J’ai continué à être attentive à ce problème pendant ma vie d’adulte , prenant un vermifuge , occasionnellement, à chaque fois que j’avais le moindre soupçon de présence d’ascaris ( mais parfois , je reste plus d’un an sans en prendre )
    Pensez-vous que je devrais plutôt prendre tous les 6 mois un vermifuge, sans me poser de question ?
    Je prends Fluvermal ; qu’en pensez-vous ? N’est-il pas trop toxique pour le prendre régulièrement ( car un vermifuge est tout de même un poison )
    Si vous en connaissez un autre plus convenable, je vous serais reconnaissante de bien vouloir me l’indiquer.

    Dans l’attente d’une réponse de votre part, veuillez accepter mes remerciements anticipés ainsi que mes sincères salutations.

  28. Dr.Berger Pharmacien Biologiste dit :

    Beaucoup de biologistes n,ont pas le CES de parasitologie, peu font séreusement cet examen qui doit être effectué sur 3 échantillons minimum, ,et effectivement, un rendu négatif, ne veut pas dire, absence, et le coupler avec le scotch test qui est rarement négatif…Prendre l,habitude de purger toute la famille, une à deux fois par an .

  29. George dit :

    Analyse pertinente sur le traitement de la parapsychologie. Vous parler de se vermifuger tous les ans, mais quel produit utiliser pour couvrir à peu près toutes les catégories de vers, merci.

  30. Anne-Frédérique dit :

    Bonjour, les medecins ne le préconise plus, travaillant en école maternelle je vois tellement d’enfants avec des démangeaisons anales😓 je me permet d’en toucher deux mots aux parents et ils sont tjs très étonnés d’apprendre qu’il faut se vermifuger…
    Quand est il du plus sain des vermifuge?
    Je connais et prends le fluvermal… mais est il correct question compo? Si non, y’a t il d’autre alternative ?

    Merci!

    Anne-Frédérique.

    • Laurence dit :

      Bonjour, Quel vermifuge le plus naturel possible utiliser?
      J’ai entendu parler de l’ail cru. Qu’en pensez vous ? Cette information nous manque de la part du Pr Humbert….
      Merci pour votre réponse. Cdt. Laurence

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