Mesures anticovid : jusqu’où seront-ils prêts à aller ?
Chère lectrice, cher lecteur,
Ça y est !
La troisième dose sera désormais obligatoire pour tous pour avoir accès au pass sanitaire[1].
Ce n’est pas vraiment une surprise.
Cela fait des mois que je vous en parle dans mes lettres.
Comme à leur habitude, nos autorités font les choses en douceur pour faire passer la pilule.
Elles ont commencé par la recommander aux personnes à risque, avant de la rendre obligatoire à partir de 65 ans… et maintenant tout le monde devra « repasser par la case START » pour continuer à jouir librement de sa liberté.
Pas besoin d’être devin pour imaginer la suite…
Le message d’Olivier Véran ne laisse pas planer le doute : toutes les personnes âgées de plus de 18 ans devront justifier avoir reçu une dose de rappel de vaccin au maximum sept mois après la précédente[2].
La troisième dose ne sera donc vraisemblablement pas la dernière…
Le ministre de la santé a d’ailleurs annoncé qu’une nouvelle option serait installée sur l’application TousAntiCovid pour alerter quand l’expiration du pass sanitaire approcherait[3].
Nous nous dirigeons bel et bien vers un abonnement à vie au vaccin anticovid, avec rappel tous les 6 ou 7 mois…
Quand admettront-ils qu’ils se sont trompés ?
Pour avoir une idée de ce qui nous attend, il suffit de jeter un œil en Israël.
Rappelez-vous : Israël est un peu le « pays cobaye » pour le reste du monde.
En mars, il était le premier pays à vacciner massivement…
Et quelques mois plus tard, il a été le premier pays à en faire les frais…
Puisque le vaccin s’est montré pratiquement inutile :
- Le vaccin ne diminuerait le risque d’infection que de 16 % après six mois, selon4le ministère de la santé israélien[1]
- En août déjà , près de 60 % des Israéliens hospitalisés en soins critiques à cause du covid étaient vaccinées[5]
- Des études suggèrent que les personnes vaccinées transmettent autant le virus que les non-vaccinées[6], et que l’immunité des vaccinés serait même pire que celle des non-vaccinés[7].
- Au moins 29 études scientifiques ont remis en question l’efficacité des vaccins ces derniers mois[8]
Toute personne sensée reconnaîtra qu’un vaccin qui ne freine ni la contamination ni la transmission et qui n’empêche pas de finir à l’hôpital est un échec…
Tout le monde… sauf les gouvernements qui ont alors recommandé une troisième dose.
« Puisque les trois premières doses ne fonctionnent pas, il faut en imposer une quatrième ! »
Lisez la rĂ©ponse étonnante d’Uri Shalit, bioinformaticien Ă l’Institut israĂ©lien de technologie :
« La leçon que l’on peut tirer d’IsraĂ«l c’est que les vaccins fonctionnent, mais pas si bien que ça[9]. »
…
Et mercredi, le ministre israélien de la santé a reconnu que les cas étaient en augmentation chez les personnes qui avaient reçu trois doses (déjà 9 % des nouveaux cas)[10].
Il a même annoncé ceci :
« Il est possible que nous ayons besoin d’une quatrième dose de vaccin[11]. »
L’histoire se répète.
Après combien de doses admettront-ils que ces vaccins ne fonctionnent pas ?
Sept, huit … qui dit mieux ?
Les autorités de santé sont-elles « à côté de la plaque » ?
Pendant que le ministre de la santé israélien reconnaît à demi-mot que la 3ème dose ne permettra pas de mettre fin à l’épidémie…
Son homologue Français présente la troisième dose comme la clé pour retrouver une vie normale.
Comment peut-on encore y croire ?
Plutôt que de reconnaître leurs erreurs, nos autorités semblent s’enfoncer de plus dans cette folie vaccinale !
- Elles pourrissent encore davantage la vie des non-vaccinés en réduisant la durée de validité des tests (alors que c’est finalement une bien meilleure garantie que la vaccination de ne pas propager le covid). Cette mesure, bien sûr, n’a d’autre but que de pousser les réticents à se vacciner.
- Elles réfléchissent même à la vaccination de nos enfants dès l’âge de 5 ans pour la rentrée 2022[12]. Cette étape, déjà franchie par certains pays comme les USA et Israël[13], est non seulement aberrante, mais aussi dangereuse.
La vaccination des enfants pourrait même avoir un effet négatif sur l’évolution de cette crise.
À ce sujet, je vous invite à visionner l’excellente interview du virologue Jean-Michel Claverie par Frédéric Taddei popur RT France (à partir de la 4ème minute). C’est tellement rare de voir sur un plateau TV un vrai journaliste interroger un vrai spécialiste !
Et pendant ce temps-là , à l’hôpital public…
Face à cette épidémie, le bon sens voudrait qu’on protège uniquement les personnes à risques et qu’on laisse les autres se faire une immunité naturelle et durable.
On l’a dit et redit, depuis le début de l’épidémie, la grande majorité des décès concernent des personnes très âgées et/ou présentant des comorbidités.
C’était le cas au début de la crise. Et c’est toujours le cas aujourd’hui.
Pourquoi promouvoir une telle vaccination de masse – y compris chez les enfants et les personnes en bonne santé – avec un vaccin qui ne limite pas la transmission ?
On nous a dit qu’il fallait vacciner tout le monde pour ne pas encombrer les hôpitaux.
Mais on a appris ensuite que :
- Les hôpitaux ont été très peu surchargés par les cas covid : ceux-ci ne représentent que 2 % des hospitalisations en 2020, selon un rapport officiel de l’ATIH[14]
- Le gouvernement n’a pas hésité à  se passer de 15’000 soignants non-vaccinés sans se soucier d’aggraver la situation dans des hôpitaux déjà en crise depuis des années[15]
- Nos autoritĂ©s ont fermĂ© 5’700 lits en 2020, en plein covid et alors qu’on fermait certains services de soins soi-disant pour ne pas surcharger les hĂ´pitaux[16]
D’un côté on vaccine tout le monde pour limiter les hospitalisations, et d’un autre on fait tout pour affaiblir le système de soin…
J’aimerais bien qu’on m’explique la logique de cette stratégie, qui semble ne profiter qu’aux fabricants de vaccins.
Amicalement,
Florent Cavaler
P.S. Je sais que, suite aux annonces d’Olivier Véran, certains d’entre vous décideront de faire une troisième dose… et il est possible que les risques liés à celle-ci vous inquiètent. Si c’est le cas, je partage avec vous le message de mon ami naturopathe Nicolas Wirth.
Avec une équipe de chercheurs et de médecins, il a mis au point un kit de détox vaccinale, destiné à limiter les risques d’effets secondaires.
Vous trouverez plus d’informations sur ce kit en cliquant ici.
Amicalement,
Florent Cavaler
Bien le bonjour M. Cavaler,
Merci bien pour ces infos. Mais enlevez-vous cette petite gêne, franchissez la ligne rouge de vous faire taxer de « complotiste ». Puisque désormais, pour les allumés (qui suivent simplement la trame de l’absurderie jusqu’à la source des oligarques mafio-profiteurs psychopathes), le vrai sens du mot « complotiste » (perverti par le pouvoir-novlanguiste) étant « comploteur », et les vrais complotistes sont en réalité ceux qui les fomentent les complots, non ceux qui dénoncent.
Il est désormais évident, trop évident semble-t-il (même pour un sénilisé Chomsky!), jusqu’au point de l’inaceptable-inconcevable pour la masse sous contrôle propagandiste, que la cocovidance est l’outil de promotion du grand reset que représentent effrontément les Klaus Schwab, Soros, Attali, Kill Gates et cie pour la gouvernance mondialiste de l’ombre. Ces lugubres têtes d’affiche monétaro-manipulateurs ne sont que les arrogants porte-voix du pouvoir transhumaniste diabolo-absolu.
Franchissez donc cette fine ligne rouge pour ne plus jouer leur jeu, comme plusieurs intervenants médiatisés, de « faire semblant » (qui paralyse l’urgence d’agir contre eux!) que le virus, le VRAI, ce n’est pas une PLANdémie systémiquement organisée, visant l’esclavagisation et génocide de l’humain au service et profit$$$$ de ceux que j’appelle « les tas profond » profondément tas. Les politiques fantoches font dans l’auto-dérision totale et totalitaire, en parfaits laquais boulet au pied.
M. Florent Cavaler, vous nous devez « pleine conscience d’intelligence » en tant qu’intervenant public, de dire toute la vĂ©ritĂ© (aussi purement que la santĂ© holistique est essentielle): celle derrière cette PLANdĂ©mie comme celle de façade-mascarade morbidifiante, visant en accĂ©lĂ©rĂ© l’extorsion de toute libertĂ©, mĂŞme de «penser».
Vous pointez, sans l’avouer ou le prĂ©ciser, que le pire est Ă venir. Si peuple ne bouge, les agents destructeurs de l’ombre ne seront pas arrĂŞtĂ©s, mais vainqueurs – du moins pour un temps de tribulations-rĂ©gressions très pĂ©nibles et misĂ©rables pour l’humanitĂ©.
Chrystian Lauzon