3 bols de riz : c’est parti !

Chère lectrice, cher lecteur,

Quand je vous ai proposé, mercredi dernier, de faire ensemble l’expérience des 3 bols de riz, je ne m’attendais pas à un tel enthousiasme de votre part.

Vous avez été plus de 120 à répondre à mon appel à rejoindre notre « petite équipe de recherche » (je réponds à vos questions à la fin de mon message).

Je suis persuadé que, tous ensemble, nous allons vivre un magnifique moment de partage.

Le jour-J est arrivé.

J’espère que vous vous êtes procuré des bocaux en verre et que vous êtes prêts à commencer l’expérience.

Si vous avez manqué mon dernier message, sachez que l’expérience consiste à enfermer du riz cuit dans 3 bocaux différents. Il s’agit ensuite de dire chaque jour des méchancetés au premier bocal, de faire des compliments au deuxième et d’ignorer totalement le dernier.

Selon Masaru Emoto, le riz insulté pourrira plus vite, il deviendra noir, avec des moisissures et sentira mauvais.

À l’inverse, le riz complimenté restera blanc ou jaune, de petites bulles se formeront à la surface. Il sentira moins fort et sera beaucoup plus appétissant après deux semaines.

Cette expérience démontrerait le formidable pouvoir de nos intentions et de nos émotions sur la matière.

Il est important que nous suivions tous exactement le même protocole, afin d’avoir des résultats aussi pertinents que possible.

Je vous ai donc préparé une marche à suivre détaillée.

1ère étape : nettoyer le matériel

Pour éviter que le développement des moisissures du riz soit influencé par les saletés et les bactéries présentes dans les bocaux, il est indispensable de les stériliser :

  • Mettez les bocaux ouverts ainsi que les couvercles dans une grande casserole d’eau bouillante pendant 10 minutes (comme sur la photo ci-dessous).

 

  • Laissez-les ensuite sécher à l’air libre, en les mettant à l’envers sur un chiffon ou une serviette propre.


2ème étape : préparer le riz

Pendant que vos bocaux sont dans la casserole, vous pouvez commencer la cuisson du riz :

  • Versez environ 100 g de riz dans un litre d’eau bouillante, sans saler ni aromatiser (c’est inutile puisque vous n’allez pas le manger).
  • Respectez la durée de cuisson mentionnée sur l’emballage.
  • Quand le riz est bien cuit, videz l’excédent d’eau (s’il y en a).
  • Mettez 3 cuillerées à soupe de riz dans chaque bocal (vous pouvez peser le riz si vous souhaitez être encore plus précis)
  • Ajoutez un peu d’eau dans les bocaux : il doit y avoir de l’eau au fond du bocal, mais le riz ne doit pas être complètement immergé.
  • Ne fermez pas encore les bocaux.

3ème étape : qui sera le méchant bocal ?

Il est temps de déterminer quel bocal sera insulté et lequel sera complimenté.

Pour simplifier on appellera le premier bocal « méchant », le second « gentil » et le dernier « neutre ».

Le risque dans cette étape est de nommer inconsciemment « gentil » le bocal qui vous paraît le plus beau.

Pour éviter d’être influencé par l’aspect des bocaux, il faudra impérativement désigner les trois bocaux par tirage au sort.

Avec mes collègues Alizée et Claire, nous avons mis trois bouts de papier avec les mots « gentil », « méchant » et « neutre » dans un panier. Nous avons ensuite choisi à l’aveugle les billets pour chaque bocal.

4ème étape : disposer les bocaux

Placez les bocaux à température ambiante dans un endroit sec, lumineux, mais pas directement exposé à la lumière du soleil. Collez une étiquette sur chaque bocal (ou devant celui-ci).

Il faut que les trois bocaux bénéficient des mêmes conditions climatiques (lumière, chaleur, humidité).

Vous pouvez les laisser les uns à côté des autres. Ce n’est pas un problème qu’ils soient proches quand vous leur parlerez car, selon Emoto, ce n’est pas le son de la voix qui agit, mais seulement votre intention (et où vous la dirigez).

Pour le moment, les bocaux sont ouverts. Le riz est en contact avec l’air.

Laissez-les ainsi pendant une nuit, et fermez-les hermétiquement le lendemain.

5ème étape : c’est parti !

Dès maintenant, vous pouvez commencer à parler au riz. Il est important de le faire le plus souvent possible. Si vous y pensez, faites-le au moins une fois par jour, le matin en vous levant, ou le soir en rentrant du travail :

  • Au bocal méchant, dites-lui par exemple : « Je te déteste, tu pues, tu me dégoûtes, sale riz, etc.»
  • Dites au bocal gentil que vous l’aimez, qu’il a l’air appétissant, qu’il mériterait de gagner le concours de « Miss grain de riz 2019 » (faites preuve d’imagination)…
  • Ignorez totalement le bocal neutre. Ne lui parlez pas, ne le regardez pas.

Ce qui compte, c’est de mettre beaucoup d’intention dans vos paroles. Il faut essayer de parler au riz avec le plus de sincérité possible.

Si vous êtes comme moi, et que vous n’êtes pas du genre à vous mettre facilement en colère sur les autres, vous verrez que ce n’est pas facile d’insulter du riz.

Et il faut avouer qu’on a l’air un peu ridicule quand on se met à insulter un pauvre bocal de riz sans défense…

N’oubliez pas de prendre des photos !

Pensez aussi à prendre des photos de votre expérience.

À la fin des deux semaines, je vous enverrai un lien pour m’envoyer vos photos. On pourra alors découvrir le résultat des expériences de tous les participants.

Enfin, j’ai hâte que vous me donniez des nouvelles de vos expériences en cliquant ici.

Pour ma part, j’ai commencé la mienne aujourd’hui.

On se donne rendez-vous la semaine prochaine pour découvrir l’évolution de nos bocaux.

Amicalement,

Florent Cavaler

PS. Je vous avais dit que je répondrais aux questions que vous m’avez posées après mon premier message. Voici mes réponses :

Faut-il utiliser du riz bio ou non ? Et est-ce qu’il vaut mieux opter pour du riz blanc, complet ou semi-complet ?

En fait, le choix de votre riz n’a aucune importance. Ce qui compte, c’est d’utiliser le même riz pour vos trois bocaux. Ce que nous cherchons à mesurer, c’est l’effet de nos intentions sur celui-ci, pas la différence entre plusieurs variétés ou qualités de riz.

Cependant, il est possible qu’un riz complet et/ou bio prenne plus de temps à pourrir qu’un riz du supermarché. Les effets pourront donc être moins spectaculaires après deux semaines.

François demande si nos croyances et nos préjugés peuvent influencer les résultats de l’expérience, par exemple, si on a du dégoût pour le riz le plus vilain.

Pour que votre expérience soit pertinente, il faut mettre le plus de sincérité possible dans vos intentions (c’est toute la difficulté de cette expérience). Tant mieux si vous avez du dégoût pour le riz « méchant ». Vous contribuerez ainsi à le faire pourrir encore plus vite.

Mais si vous en avez pour le riz « gentil », vous risqueriez effectivement de l’influencer négativement. Vous devez avoir uniquement des pensées négatives pour le riz « méchant » et positives pour le « gentil ».

Véro aimerait savoir comment nous pouvons éviter à coup sûr qu’il n’y ait pas de biais.

C’est tout simplement impossible. D’abord parce que nous ne sommes pas scientifiques et que nous ne réalisons pas cette expérience dans un laboratoire. Mais même dans les laboratoires les plus sérieux, les chercheurs ne peuvent jamais garantir à 100 % l’absence de biais dans leurs travaux de recherche.

Ce sont les limites de la science expérimentale… Le but est plutôt de limiter les biais au maximum, afin qu’ils influencent le moins possible les résultats. C’est ce que nous avons essayé de faire avec ce protocole.

Plus nous serons nombreux à faire l’expérience et plus les résultats seront fiables.

À mercredi !

Florent





25 réponses à “3 bols de riz : c’est parti !”

  1. Tobias dit :

    Bonjour,
    Très belle expérience mais malheureusement détournée de celle de Masaru Emoto. Son expérience ne se base pas sur le riz mais sur l’eau. C’est l’eau qui doit être aimée, insultée ou ignorée. Car Masaru Emoto à fait des années d’expériences sur la façon dont l’eau réagit et transporte les émotions.
    Je trouve donc dommage de détourner ses recherches, même si je pense que tout organisme vivant réagit aux émotions et aux vibrations que l’on transmet.
    Bravo pour votre travail de documentation et pour votre expérience.

  2. Jean-Charles WEBER dit :

    Bonjour Florent,

    J’ai lu avec la plus grande attention votre article sur le riz
    (les 3 bols de riz) j’ai bien évidement fait l’expérience, Mais plus rien de votre côté. j’ai beau chercher dans mes messages, je retrouve vos deux messages précédent le début de l’expérience, mais pas de message sur les résultats, et j’ai vraiment hâte d’avoir des nouvelles de vos résultats après les quinze jours ? Positifs ? négatifs ?
    Dans l’attente de votre réponse, veuillez agréer mes cordiales salutations.
    Jean Charles Weber Naturopathe, Magnétiseur

    • Florent dit :

      Bonjour Jean-Charles,
      Avec mon équipe, nous avons terminé l’expérience depuis quelque temps. Bizarre que vous n’ayez pas reçu mes derniers messages…
      Vous pouvez les retrouver sur le site de PureSanté, en inscrivant « bols de riz » dans l’onglet de recherche.
      Cordialement,
      Florent

  3. beaudot dit :

    L’expérience est probante. J’ai pris des photos, mais je ne vois pas comment vous les envoyer?

  4. philippe Mémet dit :

    Ne pas faire la cuisine dans de mauvaises dispositions, et nous ferons fleurir l’amour chez nos invités.
    Merci pour cette belle expérience.

  5. Batty Dominique dit :

    L’expérience me plaît à part le moment du discours, je me sens un peu bête de parler à des pots. Le « méchant » moisit très vite, le gentil reste pareil à lui même et le neutre se dessèche sur le dessus puis moisit également mais beaucoup moins vite.

  6. sandrine dit :

    J’ai commencé l’expérience le 15 mai. A priori, la seule réponse de mon riz à mes insultes/compliment/indifférence, c’est de la condensation.
    A suivre!!!

  7. Catherine dit :

    J’ai essayé et ai vu peu de différences…c’est peut-être moi?

  8. Langumier Victoria dit :

    Bonjour,
    En fait, ne s’agirait-il pas d’avantage du changement de la structure même de l’eau, les travaux d’Emoto ayant démontré l’influence de nos pensées, intentions… sur ses molécules???
    Cordialement
    Victoria

  9. Bianca FRAIOLI dit :

    Bonjour,
    J’ai commencé l’expérience des 3 bols de riz le 10 mai.
    Les choses négatives que je dis au bocal « méchant » me libère car normalement c’est à moi qu’elles sont destinées.Pour les choses positives je suis obligée de faire un effort et je trouve bien de les dire.
    J’ai hâte de voir ce que cela va donner à différents niveaux.
    A suivre .

  10. Sandrine dit :

    Bonsoir
    J ai donc commencé l expérience mais J avoue avoir qq difficultés à dire des méchancetés à ce pauvre bocal
    Pour les 2 autres ça va
    Puis je les toucher ?
    Bien @vous

  11. Seksane dit :

    Pourquoi pas! J’ai commencé l’expérience le 09/05/2019 …
    Merci de nous faire participer .A+

  12. Christine dit :

    Je suis incapable de dire des méchancetés à un bol de riz, je culpabilise…

  13. Chabot janic dit :

    Je commence l ‘expérience avec intérêt malgré le climat tropical et son humidité ( Côte d ‘Ivoire ) les plantes sont vivantes alors on peut essayer avec des molécules de riz si l ‘ADN n ‘a pas été modifié style transgénique …

  14. my dit :

    Je suis curieuse de faire le test!
    Je viens de mettre les 100gr de riz dans 1 litre d’eau bouillante mais je me demande si ce sont les bonnes doses
    car la quantité de riz est minime par rapport à la quantité d’eau? Qu’en dites-vous?

  15. Dautrebande Francis dit :

    Bonjour et que devrait t’il arrivé au 3ème bocale ???

  16. Annelyse dit :

    Voilà c’est parti, avec mes enfants,on à commencé très sérieusement l expérience. A bientôt pour la suite en photos!

  17. Jean-Charles WEBER dit :

    Bonjour,

    Super idée, je commence avec vous aujourd’hui

    Cordialement,

  18. Michel Mosé Raoul Cittone dit :

    Je commence l’expérience aujourd’hui 8 mai 2019 mais je suis déjà convaincu car je connais les travaux de Masaru Emoto depuis pas mal d’années.

  19. Anne dit :

    Je ne supporte pas la méchanceté gratuite. Je ne ferai donc pas cette expérience. De plus, ce pauvre riz a été bien gentil de pousser pour nourrir quelqu’un et tout cela pour pourrir dans un bocal, alors je ne suis pas d’accord. Même pour une expérience. C’est offenser la nature. Je suis d’accord avec Arnould, TOUT est vivant, même le riz  »cuit » sinon à quoi bon le manger… Je ne suis pas une  »intégriste » non plus… Je mange un petit peu de tout et parfois viande ou poisson. C’est juste que je ne gâche rien par respect pour la NATURE qui nous prodigue ses bienfaits au quotidien.

  20. corvec Germaine dit :

    je vais faire l’expérience,par curiosité.

  21. LESAGE Gilbert dit :

    J’ai déjà fait cette expérience sans l’appliquer avec la rigueur que vous demandez (stérilisation)
    Ce ne fut pas le bol « détesté » qui fermenta le plus mais « l’indifférenr » … et j’en ai conclu qu’il n’y avait rien de pire que de ne pas être reconnu et ignoré.
    Un écart significatif existait cependant entre le « j’te déteste » et le « je t’aime »
    Mon jardinier fit la même expérience, mais cette fois ce fut « l’indifférent » qui fermenta le moins.
    Nous avons convenu de recommencer l’expérience en respectant votre protocole
    A bientôt donc

  22. PIPAFIL dit :

    Bonjour,
    Evidement c’est normal,
    La réponse à la question « qui êtes vous » EST la réponse.
    La réponse est VOUS, pas votre cerveau, ni votre corps, ni autre chose de physique mais VOUS, VOUS êtes une unité consciente de conscience.
    VOUS n’êtes rien d’autre que VOUS,
    Et VOUS n’a rien à voir avec la matière, l’ énergie, l’espace et le temps si ce n’est que VOUS êtes dedans, et dans un corps!
    VOUS êtes une pure création au fond de vous, mais vous avez perdu beaucoup de capacité qui vont au-delà de tout ce que VOUS puissiez imaginer, et la premiere est déjà, de reconnaitre qui VOUS êtes réellement!
    En espérant, avoir enfin, fait comprendre bien des choses  » paranormales  » bien naturelles!
    Amicalement; Philippe

  23. KSOURI dit :

    Je suis partant et
    je vais faire l’expérience

  24. ARNOULD dit :

    Bonjour, je ne veux pas faire cette expérience car je sais d’avance qu’elle est véridique. C’est une matière vivante, tout comme nous, comme les plantes et les animaux. elles se comporte selon nos humeurs et selon comme nous les traitons.

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