Ma grand-mère nous vermifugeaitÂ
Chère lectrice, cher lecteur,
« Ma grand-mère nous vermifugeait plusieurs fois par an. »
Combien de fois ai-je entendu cette phrase ?
Nos anciens savaient inconsciemment que bon nombre de problèmes étaient liés à la présence de « vers » dans le tube digestif.
Par exemple, chez le petit garçon ou la petite fille de trois ans qui fait encore pipi dans sa couche, chez ce grand enfant en état d’excitation, ou encore chez tel autre ayant la peau sèche et des dartres…
Les anciens se transmettaient l’information oralement, de génération en génération, et c’est ainsi qu’à leur époque on vermifugeait régulièrement les enfants.
Vous allez voir que cette tradition était pleine de sens, et qu’elle mériterait de perdurer aujourd’hui, autant chez les enfants que chez les adultes…
Bienvenue dans la grande famille
des parasites
Mais de quoi parle-t-on exactement ?
De parasites plus ou moins grands, dont la taille peut aller de 5 mm à 3 cm, répartis principalement dans deux familles différentes :
- Les nématodes, qui sont de petits vers ronds (et qui regroupent notamment les ascaris)
- Les plathelminthes, aussi appelés vers plats.
Parmi les vers plats, on retrouve notamment le fameux ver solitaire, qui est un ténia du porc ou un ténia du bœuf (c’est donc en mangeant la viande de ces animaux que l’on peut se contaminer).
Cette famille comprend aussi le ver de l’échinococcose alvéolaire, et celui du kyste hydatique, l’un transmis par le renard, l’autre par le mouton.
Ils donneront différentes manifestations. Les ténias colonisant l’intestin peuvent provoquer une pâleur par anémie, une grande fatigue et un amaigrissement…
Pour l’anecdote, il y a quelques années, une société commerciale avait eu l’idée de mettre dans des gélules, des anneaux de ténia pour que, une fois le ver reconstitué dans l’intestin du consommateur, il aille jouer son rôle pathologique… et faire maigrir son propriétaire !
Heureusement les ténias sont relativement rares. En revanche, il est beaucoup plus fréquent d’héberger dans son intestin des nématodes (ces fameux petits vers ronds).
Car les parasites sont universels : on les trouve partout, aussi bien chez nous que dans les pays exotiques.
Ils peuvent se retrouver sur les aliments qui ont été en contact avec des matières fécales. Or les cultures maraîchères se font de plus en plus souvent avec des engrais d’animaux (quand ce ne sont pas des matières fécales humaines).
Fausse cystite, vrai parasite…
Quand devez-vous suspecter la prĂ©sence de vers ?Â
Tout d’abord, il y a des signes courants très évocateurs. Par exemple les démangeaisons à l’anus, ou au niveau des organes génitaux externes chez la femme.
Il faut aussi suspecter les parasites, si vous pensez avoir eu régulièrement des cystites, des infections urinaires ou des mycoses vaginales.
Si on y regarde de plus près, par la lecture des analyses d’urine, on se rend compte qu’il ne s’agit généralement pas d’infections urinaires. En effet, si les résultats montrent bien de très nombreuses bactéries, il n’y a pas en revanche un nombre suffisant de globules blancs, les leucocytes, pour retenir l’existence d’une infection.
De même, ce que vous appelez « mycose », c’est-à -dire des démangeaisons vulvaires avec des sécrétions et des pertes (en réalité des glaires ou du mucus), sont généralement sans rapport avec candida albicans, le champignon responsable des mycoses.
Ainsi, ces symptômes génito-urinaires sont, dans mon expérience, la preuve d’une présence de parasites au niveau intestinal. J’ai d’ailleurs reçu d’innombrables messages de satisfaction ou de remerciements de femmes chez qui ces troubles répétés étaient un véritable enfer et qu’elles ont vu disparaître après traitement antiparasitaire.
Chez les enfants, le portage parasitaire peut être responsable d’une certaine excitation et, dans certains cas, d’énurésie (le « pipi au lit »). Chez la petite fille, ce sera souvent une vulvite, c’est-à -dire une inflammation de ses organes génitaux externes entraînant des démangeaisons. Le grattage de cette zone à proximité de l’anus conduit souvent à une infection, c’est-à -dire une vulvite bactérienne ou parfois candidosique.
Si ça gratte…
Le prurit (c’est ainsi que dans leur jargon les médecins appellent les démangeaisons), est un symptôme courant qui n’inquiète pas forcément.
Et pourtant, un prurit chronique ou répété devrait toujours conduire le médecin à en rechercher la cause.
Dans ce contexte, et après avoir formellement écarté une maladie générale ganglionnaire, il faudra tester l’efficacité d’un antiparasitaire.
Cela n’est pas encore bien connu dans la communauté médicale, mais les démangeaisons qui surviennent dans la journée, ou au cours de la nuit signalent souvent l’existence d’une maladie parasitaire au niveau intestinal. Cela devra alors être confirmé par un interrogatoire de la part du médecin.
D’une manière générale, les démangeaisons au niveau de la peau, du cuir chevelu ou des muqueuses sont les expressions les plus courantes de maladie parasitaire.
C’est particulièrement vrai s’il n’existe qu’un ressenti perçu par le malade, sans lésion cutanée autre parfois que les signes du grattage (excoriations).
Vous conviendrez qu’il y a donc maintes raisons pour mettre en route un traitement antiparasitaire, ce que les anciens appelaient une purge.
Les liens Ă©tonnants entre les parasites
et ces maladies
À côté de ces prurits, d’autres pathologies cutanées devront convaincre votre médecin de rechercher des anticorps contre le parasite, qui indiquent sa présence passée ou persistante.
Par exemple, si vous avez une urticaire chronique (qui dure depuis au moins six semaines), on devra sans nul doute vous recommander un traitement antiparasitaire.
L’urticaire, caractérisée par des plaques rouges qui démangent, est le mode le plus commun de révélation de vers. C’est aussi le cas de ses variantes telles que les œdèmes de Quincke et des dermographismes (rayures en relief qui démangent lorsque vous vous grattez la peau).
Un autre symptôme de maladie parasitaire, mais souvent attribué par erreur à un champignon du cuir chevelu, ce sont les démangeaisons de la tête accompagnées de squames (pellicules).
Dans ce cas, votre médecin vous proposera généralement des shampooings antifongiques. En cas d’échec ou de récidive rapide, il sera souhaitable d’envisager l’existence d’un parasite intestinal.
Les dartres chez l’enfant signeraient aussi la présence de parasites intestinaux dans 50% des cas. Ce sont des plaques d’eczéma sèches, arrondies, touchant le visage ou la partie supérieure du corps, légèrement prurigineuses, avec de fines squames.
Autre maladie de la peau de mécanisme immunoallergique, l’eczéma, symétrique ou non, présent dans les territoires classiques de l’eczéma atopique ou non, alertera sur la présence dans votre intestin de parasites.
Sur le plan digestif, les vers participent à l’entretien d’une maladie inflammatoire intestinale, et donc à ses manifestations comme la diarrhée. Cet aspect est important à considérer. La présence de vers intestinaux signifie le plus souvent qu’il y a une maladie de la muqueuse intestinale (j’y reviens plus loin). D’ailleurs, on s’enquerra de la présence de glaires, c’est-à -dire du mucus dans les matières fécales.
Pourquoi vous devez garder toutes
vos prises de sang (même celles d’il y a 20 ans)
Pour détecter un parasite, il est parfois nécessaire d’analyser toutes vos analyses sanguines, y compris celles qui datent de plus de 20 ans.
Je vois parfois arriver en consultation des malades, tenant en main leur dernière prise de sang.
Ce qu’ils ignorent, c’est que les indicateurs biologiques font partie intégrante de qui vous êtes au même titre que la couleur de vos yeux, l’aspect de votre chevelure ou votre taille…
Vos cheveux peuvent être différents d’un jour à l’autre : plus ou moins bouclés, plus ou moins secs, en fonction de la saison, de votre cycle menstruel, etc.
Mais derrière ces modifications subtiles, demeure l’aspect général qui fait que l’on vous reconnaîtra quelle que soit la nature de votre chevelure.
Eh bien c’est pareil avec vos analyses sanguines.
Par exemple, le nombre de vos globules blancs peut varier au cours du temps ou si vous tombez malade. Mais comment un médecin peut-il connaître votre vraie « nature » – en termes de globules blancs – s’il n’a pas les prises de sang précédentes ?
Il faut parfois aller très loin dans le passé pour connaître votre statut et observer des variations sur plusieurs années. L’évolution de vos globules blancs décrira une courbe particulière qui peut être très significative, notamment si on s’intéresse au nombre des polynucléaires éosinophiles.
Ainsi, si je constate, qu’il y a 12 ans, votre taux de ces globules blancs particuliers a augmenté, avant de diminuer et de se stabiliser, bien qu’il demeure dans le cadre des valeurs dites « normales », cela peut révéler que vous avez bien attrapé un parasite à cette époque.
Mais où étiez-vous alors ? En France ou à l’étranger ? Un interrogatoire détaillé nous permettra alors de déduire quel est le type d’helminthes qui vous a infecté.
Vous comprenez donc pourquoi votre médecin doit prendre connaissance de toutes vos prises de sang passées, et ceci à chaque nouvelle consultation.
Les vers préfèrent s’installer
dans les intestins malades…
Il y a toujours une cause Ă tout.
La présence de vers sur la paroi intestinale indique que votre muqueuse est pathologique : inflammatoire, suintante (je dirais même gluante), et donc relevant d’une entéropathie, c’est-à -dire une maladie de l’intestin.
Les vers peuvent d’ailleurs entretenir, voire aggraver, cette pathologie sous-jacente.
Dans la plupart des cas, il s’agit d’une inflammation intestinale due à une intolérance alimentaire, en particulier au lait de vache (et tous ses dérivés) ou au gluten.
Dans d’autres cas, il s’agit d’une MICI (maladie inflammatoire chronique de l’intestin), aussi désignée par le terme de maladie de Crohn.
On voit donc ici tout l’intérêt d’évoquer et de diagnostiquer cette infection parasitaire.
D’ailleurs, ces pathologies de la paroi intestinale peuvent fragiliser la barrière intestinale, et laisser passer dans le sang des produits toxiques (responsables par exemple des symptômes articulaires de la maladie de Crohn) ainsi que certaines larves de parasites.
Celles-ci peuvent alors pénétrer dans le corps et y entrainer des maladies sérieuses, comme la toxocarose, maladie parasitaire systémique.
Ce n’est pas parce que vos résultats sont négatifs
que vous n’avez pas de parasite
En médecine, lorsqu’une recherche est négative, cela ne veut pas dire que ce que vous recherchez n’existe pas.
Ainsi, si vous allez pêcher dans le lac avec un fil et un hameçon il est vraisemblable que vous ne ramènerez pas de poisson. Allez-vous en déduire qu’il n’y a pas de poissons dans ce lac ?
Pendant des dizaines d’années, on s’est évertué à chercher des vers ou des traces de leur présence (larves, œuf) dans les selles, sans jamais se poser la question suivante :
Que feraient des vers sur vos matières fécales ?
Peut-on être sûr qu’ils ne sont pas dans l’intestin sous prétexte qu’on ne les voit pas ?
C’est ainsi qu’il a fallu attendre 2015 pour qu’on démontre enfin que la recherche de parasites dans les selles était négative à 90% chez des personnes pourtant infestées.
En réalité, cet examen n’a pas d’autre utilité que de connaître le nom du parasite dans le cas éventuel où on aurait la chance de le découvrir.
Combien de malades ont souffert de démangeaisons anales durant des années sans que jamais on ne leur ait donné un antiparasitaire, simplement parce que leurs analyses des selles étaient négatives !
Les 3 problèmes avec la prise de sang
Il existe aussi un sérodiagnostic pour rechercher dans le sang des anticorps dirigés contre des protéines du ver.
Le premier problème, c’est que cette analyse n’est pas spĂ©cifique : on cherche des anticorps dirigĂ©s contre des protĂ©ines que l’on espère universelles, potentiellement prĂ©sentes sur toutes les familles de vers ronds, alors que ce n’est pas toujours le cas.
Le deuxième problème, c’est qu’on ne cible pas toujours les bons anticorps.
La plupart du temps, on teste les anticorps dits immunoglobulines G. Or la rĂ©ponse immunologique de l’organisme contre les vers repose le plus souvent sur la production d’immunoglobulines E.
Troisièmement, il y a des patients qui ne produisent aucun anticorps alors qu’elles sont infectées. Et vous imaginez bien que ce sont vraisemblablement des personnes plus gravement atteintes !
Et dernièrement, si on a la chance de découvrir chez vous des anticorps IgG contre les « ascaris », vous pourrez lire par exemple dans le commentaire du résultat : « 7 Unités : résultat négatif ! seuil de 15 ».
Ainsi, tant que vous n’avez pas un taux d’anticorps de 15 unitĂ©s, le laboratoire considère que ce rĂ©sultat est nĂ©gatif. Mais comment pourriez-vous produire des anticorps, mĂŞme Ă des taux faibles, sans qu’il n’y ait la prĂ©sence du parasite ?
Ce que vous risquez si vous êtes infesté
Certains scientifiques estiment que la présence de ces vers serait protectrice pour l’organisme.
Ils suggèrent même que ceux-ci auraient un potentiel face à certaines maladies inflammatoires de l’intestin.
Voici pourquoi j’ai une vision à l’opposé de ces théories.
La prĂ©sence de ces vers induit une immunodĂ©pression qui favorise les infections au virus de l’herpès : j’entends par lĂ la maladie herpĂ©tique (le fameux bouton de fièvre), mais aussi l’herpès gĂ©nital, beaucoup plus dangereux car prĂ©sent dans les sĂ©crĂ©tions vaginales, le zona, mais aussi le virus Epstein-Barr responsable notamment de la mononuclĂ©ose infectieuse et aussi de lymphomes.
Il a aussi Ă©tĂ© dĂ©montrĂ© que la prĂ©sence d’helminthes favorise la prolifĂ©ration du papillomavirus dans le liquide du conduit du col de l’utĂ©rus. Il est dĂ©sormais recommandĂ© d’administrer un traitement parasitaire chez toute femme prĂ©sentant un cancer du col de l’utĂ©rus.
Je ne peux pas non plus m’empĂŞcher de faire un parallèle avec l’efficacitĂ© dĂ©montrĂ©e dans plusieurs Ă©tudes de l’ivermectine contre le COVID.
Il s’agit lĂ d’un mĂ©dicament antiparasitaire.
J’émets donc l’hypothèse que la disparition des parasites pourrait contribuer à restaurer le système immunitaire qui, dès lors, sera plus efficient pour éliminer le coronavirus.
Ne serait-il donc pas pertinent d’Ă©tudier le bĂ©nĂ©fice Ă©ventuel d’un traitement antiparasitaire chez les personnes ayant un syndrome d’immunodĂ©ficience acquise (SIDA) et donc porteur du virus VIH.
Il serait aussi intĂ©ressant d’Ă©tudier l’effet d’un tel traitement chez les enfants qui ont un impĂ©tigo, maladie bactĂ©riologique cutanĂ©e due au staphylocoque et au streptocoque cutanĂ©.
Malheureusement, la parasitologie est encore trop peu développée en médecine et à peine enseignée en troisième année dans les cours de pathologie fondamentale.
Rares sont les services hospitaliers qui discutent des parasitoses, dont les conséquences directes ou indirectes sont pourtant importantes.
Ne devrait-on pas envisager une telle pathologie parasitaire dès que l’une ou l’autre des situations décrites plus haut se produit ?
Ne devrions-nous pas reconsidérer la présence des helminthes dans l’intestin même si nous ne les voyons pas dans les selles, notamment en cas d’urticaire ou de démangeaisons ?
Et finalement, ne faudrait-il pas se vermifuger tous les 6 mois, comme nous le faisons pour nos animaux de compagnie… ou comme le faisaient nos grands-mères ?
Bien Ă vous,
Pr Philippe Humbert
Aucunes réponses sur le type de vermifuge, pourquoi ? Comment prendre un rendez vous avec le professeur. Merci.
l’ail est il le principal vermifuge utilisĂ© par nos grands mères?
Bonjour,
Les vermifuge sont-ils nocifs pour la santĂ© comme peuvent l’ĂŞtre les antibiotiques???
Merci
Bonjour Jeff,
Le Pr Humbert a répondu aux principales questions concernant les parasites dans cette lettre.
Amicalement,
Florent
Pourquoi mon commentaire ne paraît pas ? Merci de me le préciser.
Bonjour Christine,
Rassurez-vous, votre commentaire est bien en ligne. Je valide chaque commentaire manuellement, un Ă un. Etant aussi occupĂ© par d’autres tâches, il faut donc parfois attendre quelques jours avant de publier votre commentaire.
Merci pour votre compréhension.
Amicalement,
Florent
mil mercis….et il serait bon d’apprendre tout çà dans les MATERNELLES ! qui n’ont plus d’infirmières bien sĂ»r….30 a 40% des enfants atteints (caca dans mem pot !!)… BREFLE…
Je me reconnais bien dans certains aspects que vous dĂ©crivez ! Depuis des annĂ©es ! J’ai hâte de connaĂ®tre la solution ! Il faut que j’attende encore plusieurs mois pour mon rendez-vous ! Je prends du Fluvermal. Est-ce que ces mĂ©dicaments, pris Ă rĂ©pĂ©tition au fil des ans, ne peuvent avoir des effets nĂ©fastes par ailleurs ?A part le guillet de ma grand mère , je n’ai pas souvenir de vermifuge « maison ».
Bonsoir Dr Humbert
ExposĂ© extrĂŞmement instructif. IntolĂ©rante au lait depuis mon enfance, ainsi que des oeufs de poule, l’Ă©viction du blĂ©, et du sucre depuis 5 ans, j’ai des Ă©ruptions cutanĂ©es sur maintenant la totalitĂ© du buste depuis une dizaine d’annĂ©es. Le 26 janvier dernier mon dermatologue m’a encore prescrit de la crĂ©me locoide ainsi que des comprimĂ©s de Aerius pour un mois Ă renouveler si rien ne se passe. Chaque annĂ©e cette Ă©ruption s’Ă©tend ainsi que la durĂ©e près de 5 mois en 2022 actuellement cela Ă commencĂ© fin octobre et j’ai beaucoup de mal Ă supporter les dĂ©mangeaisons. D’autres petits tracas s’ajoutent et le moral n’est pas fort. Je ferais bien une dĂ©sinfection intestinale mais comment choisir son protocole.
J’ai commencĂ© des tisannes de thym, ail et graines de courges mais est ce appropriĂ© ?
Merci de me conseiller un vermifuge ou une mĂ©thode afin d’Ă©radiquer ces inconvĂ©nients qui me mine .
Merci pour vos articles Ă©clairants.
Merci d’avoir attirĂ© l’attention vers ce problème de santĂ©.
Bonjour, votre article sur les vermifuges m’intĂ©resse bcp, que conseillez vous comme vermifuges??? merci pour votre rĂ©ponse
Quel vermifuge était utilisé autrefois par nos grands mères (sa composition ) je suppose qu’elles n’allaient pas l’acheter à la pharmacie mais le fabriquaient elles mêmes avec des plantes.
Merci de partager ce savoir avec vos lecteurs.s
Merci de publier la réponse à votre question sur Quel vermifuge ? Ça m intéresse beaucoup
Cordialement
Sarah
Bonjour,
Je vous en parlerai dans une prochaine lettre.
Amicalement,
Florent
Bonjour Professeur,
Je me réjouis de voir un médecin aborder ces questions.
J’ai parfois l’impression de prĂŞcher dans le dĂ©sert !
Merci
Nathalie Cordier- fasciathérapeute
Très intéressant. Quel vermifuge préconiser vous ?
Bonjour, j’ai lu avec attention votre article.
Je souffre de douleur vive (identique Ă une cystite ) uniquement lors du SIGNAL que la vessie est remplie (en fait Ă moitiĂ©); C’est la mĂŞme douleur que lorsque l’on souffre de cystite mais pour moi je n’ai mal qu’au moment oĂą ce signal arrive, pas avant, pas pendant la miction, pas après.. La douleur revient entre 5 et 10 mn après si je n’ai pu vider la vessie entre temps. (urologue me dit que c’est une miction impĂ©rieuse); Je n’ai pas d’incontinence. Analyses urines et selles nĂ©gatives. J’ai assez frĂ©quemment mycose. J’ai eu 1 Ă©pisode de dĂ©mangeaison anale.
Est-ce que cela peut provenir de parasites intestinaux ?
merci