Enterrements annulés, la vitamine D où ne l’attend pas, truc parfait pour vos toilettes
Elles ont annulé leur enterrement !!!
De gauche à droite, voici :
Jane, 2 mois à vivre (en 1993) | Anne, 1 an à vivre (en 2006) | Angela, 1 an à vivre (en 2001) | Sue, 2 mois à vivre (en 1998) |
Pour leur médecin, leur cas était réglé. La date de décès était prévue, il n’y avait plus qu’à organiser l’enterrement. Littéralement.
Mais il faut croire que le mystère de la vie, celui de la maladie et de la mort, sont moins catégoriques que certains diagnostics, et qu’il y a toujours au fond de chaque être humain une insoupçonnable force d’autoguérison.
Le témoignage de ces femmes, ce « club des survivantes » comme les appellent les journalistes anglais, montre à quel point des ressorts comme les relations sociales, le fait d’avoir des objectifs ou de trouver un sens insoupçonné à sa vie peuvent influencer la guérison de façon déterminante, même dans des cas que la médecine juge « désespérés ».
Jane, cancer du sein, (« 2 mois à vivre » en 1993)
« À 42 ans, j’ai eu un premier cancer du sein, traité, puis une rechute. À ce moment-là j’étais à bout, je voulais en finir.
Un jour j’ai entendu mon fils, qui avait 6 ans alors, et qui pleurait dans la pièce d’à côté. Il disait “Maman…” comme si j’étais déjà morte.
C’est là que je me suis dit que je devais vivre. Je ne pouvais pas le laisser seul.
Cinq semaines après, quand mon médecin m’a annoncé qu’il me restait deux mois au plus, je n’ai ressenti aucune colère, ni peur. En fait, j’avais déjà touché le fond.
J’ai commencé à faire mes propres recherches. J’ai trouvé une carte qui montrait que l’incidence de mon cancer du sein était de 1 sur 100 000 en Chine, contre 1 sur 10 chez nous.
Là, j’ai pensé que c’était lié à ma façon de m’alimenter et j’ai décidé de manger comme les femmes chinoises qui n’avaient pas le cancer. Peu de protéines animales, pas de produits laitiers, beaucoup de fruits, de légumes, d’oléagineux.
Six semaines plus tard, ma tumeur été partie…
Le médecin, lui, m’a dit que c’était grâce à la chimio, et qu’elle reviendrait sûrement. Mais moi j’ai juste continué avec mon nouveau régime. Aujourd’hui j’ai 65 ans, je suis grand-mère pour la sixième fois… »
Angela, cancer des ovaires (« 1 an à vivre », en 2001).
« Après l’opération, je suis rentrée chez moi et une petite phrase qu’on vous dit souvent a trotté dans ma tête : « tu peux vaincre la maladie ».
Au début, pour moi c’était juste une phrase comme ça, et puis je me suis mise à y croire.
Je passais du temps au jardin, à apprécier de toutes petites choses que je ne voyais pas auparavant. Des fleurs, des couleurs, des odeurs. Je comprenais que j’avais beaucoup plus de force en moi que je le pensais.
Je voulais épouser l’homme avec lequel je vivais, je voulais voir Venise une fois dans ma vie, je voulais voir naître mon premier petit-fils.
Aujourd’hui j’ai réalisé ces trois rêves. Et je crois qu’ils m’ont portée pour survivre. Au moins autant que la chimiothérapie. »
Anne, cancer du cerveau (« 1 an à vivre » en 2006)
« Ce qui a tout changé, c’est lorsque ma fille m’a dit qu’elle renonçait à partir étudier à l’Université de Chicago parce qu’elle voulait rester près de moi pour mes derniers moments.
Dans mon esprit, je me suis alors fixé un objectif : vivre deux ans de plus. Je me concentrais sur de toutes petites choses, des bonheurs quotidiens : faire la cuisine, promener le chien, marcher, respirer.
Et puis j’ai commencé à me fixer de plus gros défis, comme courir un demi-marathon, et je l’ai fait. Comme ça j’ai gagné un an, puis deux, puis quatre…
Et je suis toujours là. »
Jane, Anne, Sue, Angela… et combien d’autres qui devaient mourir et qui sont toujours là.
Et voilà ce qu’on peut retenir de leurs histoires : un pronostic médical soi-disant définitif ne l’est pas forcément.
Evidemment, il ne suffit pas de vouloir guérir pour que le miracle se produise. Mais des études montrent que les survivants exceptionnels ont développé certaines qualités que l’on retrouve presque systématiquement dans les cas les plus inexpliqués de guérisons.
L’équipe du Dr Alaistair J Cunnigham, de l’Ontario Cancer Institute, s’est notamment intéressée aux traits psychiques d’anciens malades de cancers métastasés ayant été médicalement considérés comme incurables. Tous avaient en commun :
– L’authenticité : une claire compréhension de ce qui est important dans la vie
– L’autonomie : le sentiment d’être en mesure d’influencer leur vie pour manifester ces nouvelles valeurs
– L’acceptation : meilleure estime de soi, meilleure tolérance et proximité émotionnelle aux autres, et une vie affective perçue comme plus joyeuse et sereine.
Alors des forces d’autoguérison peuvent se mettent en œuvre, dont la médecine ne sait aujourd’hui pas grand chose et dont elle pourrait (devrait) avoir la modestie de reconnaître qu’elle en maîtrise mal la puissance.
La vitamine D fait mieux que le dopage
Médecins et entraîneurs professionnels américains pensent avoir trouvé LE truc qui va faire décoller la performance de leurs athlètes.
EPO, anabolisants, amphétamines, drones qui iraient lâcher des bombes puantes sur l’équipe adverse ?
Non, de la… vitamine D.
Une étude publiée en 2015 sur les joueurs de foot américain de Pittsburgh[1], les Steelers, a montré que ceux qui avaient les taux de vitamine D les plus bas étaient plus souvent victimes de douleurs musculaires, fractures, et avaient les moins bonnes performances sur le terrain. Une précédente étude, en 2011, avait déjà abouti aux mêmes conclusions.
Sportif ou pas, pour maintenir un taux normal de vitamine D, on conseille 4000 UI par jour[2] sans dépasser 10 000 UI par jour.
Sodas : parfait pour les toilettes
Pour simuler des reflux gastriques, des chercheurs australiens ont appliqué des liquides dont le pH était compris entre 1,5 et 3 sur de l’émail dentaire, puis ils ont observé ce qui se passait par imagerie 3D[3].
Pas beau à voir…
Au bout de 30 secondes seulement, l’émail était très abimé au contact du liquide à pH 1,5 et commençait à être entamé à pH3.
Le pH des sodas étant d’environ 2,5 et celui du jus d’orange de 3, on recommandera leur usage en suivant à la lettre le sage conseil du maître indien Baba Ramdev :
« Je recommande vivement les sodas, ils sont excellents à verser dans les toilettes pour en nettoyer l’émail »[4] !
Le “sans gluten” n’empêche pas les inondations
Une étude de l’association 60 millions de consommateurs a analysé les produits industriels sans gluten pour les comparer aux produits industriels avec gluten[5].
Séisme dans les médias, panique sur le thème du « on nous a menti » :
- « Le sans gluten n’est pas meilleur pour la santé »– 20 Minutes
- « Produits sans gluten : une vague qui allège surtout le porte monnaie » – France Info
- « Les produits sans gluten ne sont pas plus sains » – Les Echos
- « Manger sans gluten, un effet de mode » – Francetv info
- Maintenant calmons-nous une seconde et regardons ce que dit vraiment 60 millions de consommateurs. Le mot important de l’étude, c’est qu’elle analyse des produits « industriels ».
Comme le résume le nutritionniste Anthony Berthou, « remplacer des produits industriels classiques (pâte à tarte, chips, pizza, pain de mie, etc.) par les mêmes produits sans gluten, c’est prendre le problème de la nutrition à l’envers, comme on a pu le faire pendant des années avec les produits light ».
Effectivement, les industriels suppriment le gluten pour mettre à la place du sucre, des épaississants, des acidifiants etc. Pas étonnant que leurs produits sans gluten soient désastreux.
Surtout, l’étude de 60 millions de consommateurs ne concerne pas les produits sans gluten non transformés : riz, sarrasin, patate douce, châtaignes, millet, amarante, légumineuses (lentilles, haricots rouges ou blancs, pois chiches), dont les bénéfices sur la santé sont régulièrement soulignés.
Conclusion : attendre monts et merveilles du « sans gluten » industriel, c’est comme lui demander de nous protéger du vent ou des inondations. Disons que c’est optimiste…
Flash
++ Vous travaillez en open space (et ça vous angoisse). La spécialiste en huiles essentielles Elske Miles vous conseille un mélange de 2 gouttes HE d’Eucalyptus (globulus) avec 4 gouttes d’huile végétale d’amande douce. L’association de ce mélange au point d’acupuncture 9P (voir ci-dessous) agit en soutien pour les personnes ayant du mal à défendre leur territoire personnel ou leur espace intime comme dans certains milieux de travail en « open space ».
++ Beurk. L’infusion de buis, ce n’est pas franchement la tisane plaisir de l’année. Mais elle est si efficace en cas d’infection virale ou de fièvre que ça vaut le coup de faire un petit effort. Conseil : son goût est acceptable en infusion courte, et de moins en moins si on le fait bouillir ou si on l’infuse trop longtemps. Boire 2 à 3 bols (1 litre environ) par jour durant 2 à 7 jours.
++ Bonne question. « Le travail c’est la santé, mais alors à quoi sert la médecine du travail ? » Henri Salvador.
Amicalement,
Florent Cavaler
c est vrai le pouvoir de l esprit qui est énorme; je l ai moi même vécu ;tout est affaire de puissance de volonté et encore cela peut être complété par différents compléments et techniques simples et gratuites; (par exemple le jeune et le rajeunissement inhérent a des attitudes de vie singulières et réfléchies )grace a ce style de vie que j ai moi meme pu revenir d handicaps psychiques et meme physiques
Bonjour,
Merci pour toutes ces vérités!
Pour l’infusion de buis, j’atteste! dans le passé j’ai testé et ça marche!
Agriculteurs-éleveurs en retraite, mon mai et moi avons même sauvé une vache condamnée par le « véto » : il n’existait pas de traitement chimique pour ce dont elle souffrait (maladie virale) !!!